Ce mercredi 10 avril 2024, DéFI a officiellement présenté sa liste fédérale pour Bruxelles-Capitale lors d’une conférence de presse. L’événement a également été l’occasion pour le parti amarante d’exposer ses priorités pour Bruxelles et sa périphérie.
Ce mercredi, DéFI a officiellement présenté ses candidats pour la liste fédérale bruxelloise. Le trio de tête est composé du président du parti amarante François De Smet, de la députée fédérale Sophie Rohonyi et de l’ex-juge d’instruction Michel Claise. C’est l’ancien ministre Didier Gosuin qui poussera la liste.
Le président du parti amarante François De Smet s’est dit fier de porter cette équipe: « C’est une liste forte, alliant élus confirmés, expérience des aînés, énergie de jeunes espoirs, diversité de profils et renforts de la société civile. Avec seulement deux députés, nous sommes parvenus à incarner avec Sophie une vraie présence de DéFI en cinq ans au Parlement fédéral. Imaginez ce que nous pourrions faire à trois ou quatre ! Nous avons l’ambition de gagner un voire deux sièges supplémentaires et de peser sur la gouvernance fédérale. Nous pouvons réparer cet Etat fédéral malade de ses désinvestissements en santé, police et justice, et opposer une volonté ferme au nationalisme flamand qui menace plus que jamais la cohésion de notre pays », a-t-il affirmé.
« Voter DéFI au Parlement fédéral, c’est voter utile », a pour sa part déclaré Sophie Rohonyi. « DéFI est le seul parti démocratique francophone qui ne marchande pas nos droits fondamentaux et qui défend Bruxelles et ses habitants. C’est une nécessité démocratique face aux crises actuelles et à venir, aux promesses non tenues par les partis traditionnels, et au danger imminent du nationalisme et des extrêmes ».
Michel Claise a, lui, mis l’accent sur les efforts à fournir concernant la justice belge: « La déglingue de l’institution judiciaire est aujourd’hui un triste constat. A l’image de la société qui n’en peut plus de subir les attaques des organisations criminelles qui maltraitent les économies par leur pouvoir financier devenu immense et l’insécurité qu’elles nous imposent et qui habite désormais nos rues. Cela suffit ! Il faut mettre un terme à l’impéritie du passé en termes de gouvernance. Il est devenu urgent de restituer la justice à la citoyenneté ».
“Il n’y a pas de démocratie sans cohésion sociale et point de cohésion sociale sans responsabilité individuelle et collective, sans solidarité permanente, sans équité et justice et sans une rigueur constante dans la gestion publique”, a conclu de son côté Didier Gosuin.
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